Sommaire : | 1. Le message providentiel 2. La préparation 3. Rendez-vous à Pontoise ! 4. Ils sont dans la classe A ! 5. Petit tour au musée 6. Quizz 7. Le retour 8. Remerciements |
Si nous n'avons pas pu nous garer sur le parking du Musée de l'Air et de l'Espace, c'est parce que les premiers préparatifs en vue de la grande messe annuelle du salon aéronautique (du Bourget, vous suivez ?) avaient commencé. A la place, nous avons été relégués sur les parkings de l'armée navale (escale de Dugny), celle où traditionnellement se parkent les avions privés des personnalités... d'Etat.
C'est donc dans un salon VIP que nous avons été accueillis : sièges Pullman, aquarium, bar, télé, ordinateur. Pendant que nous testions le confort des fauteuils ;-) François envoyait par fax à la Tour de Contrôle les formulaires de départ (comme pour l'aller, nous redécollerons du Bourget à 5 minutes d'intervalles à partir d'une heure très précise). Nos hôtes de l'ANORAA sont alors arrivés, et nous nous sommes pliés aux présentations d'usage.
Pour rejoindre le Musée, il était impensable de traverser les pistes à pied, alors c'est un bus qui est venu nous chercher. Sur le trajet, nous avons navigué au milieu de zones militaires, alors, forcément, nos encadrants n'ont pas manqué de nous raconter l'histoire des lieux (comme celle de la caserne de Rose, du nom du colonel du même nom ...).
Le temps de contourner tout l'aéroport (ça prend du temps !), nous arrivons enfin au musée de l'air. Nous y entrons gratuitement grâce à la complicité de notre partenaire, et allons directement au pavillon des avions militaires. Là, le colonel Bury nous parle avec passion de tous ces avions qu'il avait sous sa responsabilité lorsqu'il était encore responsable de la maintenance sur une base.
La visite du musée a duré très peu de temps : à peine 1 heure avant de repartir vers nos avions et rentrer. Exit donc la visite des 2 Concordes, celle du B747 ou celle du Dakota. Cependant, nous avons quand même pris le temps de prendre quelques photos sur le parking du musée, notamment devant le Canadair CL-125 arrivé très récemment.
Un passage éclair au musée donc : tant pis, ce sera un prétexte pour y retourner une autre fois en se remémorant ce fameux 8 Mai 2009.
Aurélien