Notre périple en Rallye
Arrivée sur Vienne
Nous laissons la centrale de St Alban sur notre droite
En route vers les montagnes du Vercors
Le tableau de bord de F-GBSV
Le terrain (restreint) de St Jean-en-Royans
Pont en Royans
Nous jouons à gratte-montagne
Lac de Paladru
Morestel et son aérodrome (à gauche sur la photo)
Creys-Malville ou "Super Phénix"
VAC de Corlier LFJD
En dernier virage pour l'altiport de Corlier
Nous sommes arrivés !
Comité d'accueil : des ULM Jodels
Notez l'hélice type "sabre" de cet avion
Le bureau des pistes : une caravelle (ceux qui ont pensé suppositoire -> dehors !)
A l'intérieur du "plus beau bureau du monde"
L'histoire de cette attraction aéronautique
Vue d'ensemble avec notre Rallye
Panorama des plaines de l'Ain
Notre brave Sierra Victor. Notez les becs dépliés.
La star du jour
Le château des Allymes (XIVe siècle) lors du retour sur Bron
Aurélien
Proverbe Lyonnais 100% pur Beuf ;-) :
"Avoir un GPS, c'est bien.
Avoir un GPS + Google Earth c'est mieux.
Avoir un GPS + Google Earth + les calques des VACs et autres cartes aéro plaquées dessus , c'est encore mieux ! "
En effet, il est très intéressant de débriefer au retour de ses vols pour vérifier les trajectoires (du tour de piste notamment) et ainsi en tirer les leçons pour la prochaine virée en l'air. Mais à quoi cela sert-il si l'on ne peut pas comparer ces trajectoires aux trajectoires "publiées" ? Hein ?
C'est donc après avoir vagabondé de-ci de-là, cahin caha, sur les sites aéros et autres blogs que j'ai décidé de faire mes propres cartes concernant ma "zone de jeu".
Vous trouverez donc ci-dessous les calques pour Google Earth des VACs, Cartabossy et carte IGN 1/500 000 centrées sur LFLY (mon terrain de jeu). Les avantages certains de Google Earth sont que l'on peut régler la transparence de la carte, et que ces calques enveloppent même le relief ! Même si vous n'avez pas prévu de me rendre une petite visite (vous ne savez pas ce que vous ratez, si si ! ), vous pouvez toutefois vous rendre compte de ce l'on peut obtenir en téléchargeant les fichiers ci-dessous. Et si j'ai réussi à vous convaincre, vous pouvez aller faire un tour ici pour obtenir la recette.
Cliquez ici pour obtenir le fichier.
Oui, je sais, faut que j'améliore mes trajectoires ;-)
Cliquez ici pour obtenir le fichier.
Cliquez ici pour obtenir le fichier.
Cliquez ici pour télécharger le fichier.
Merci à Philippe Gonnet pour la fourniture de la carte OACI.
P.S. : Afin de respecter les droits d'auteurs des concepteurs, merci d'acheter leurs cartes !
Merci à Christophe Mayen pour la photo de son bureau bien vide aujourd'hui ...
Le voici le fameux papier ;-)
Et 1 de plus !
Oui, j'aime bien me fixer des objectifs (dans mes études, dans ma vie personnelle, etc. ) et ce fameux papier marque donc ma réussite dans un projet que je rêvais de concrétiser depuis trèèèèèèèès longtemps (voir ici) : voler !
Aurélien (pas peu fier le gars !)
Vous êtes plutôt Robin DR400 ou Cessna 152 ?
2 ans que les avions Robins me résistent ! C'est aujourd'hui de l'histoire ancienne...
Dimanche dernier, j'ai en effet pu faire mes premières 75 minutes de DR400-120 à bord du Fox-Victor-Fox de "L'Aéroclub du Grand Lyon" (voir l'article sur ma quête d'un nouveau club). C'était mon baptême à 3 titres : mon premier vol dans ce nouvel aéroclub, le premier vol avec Michel - mon nouvel instructeur (le temps de mon lâcher) - et enfin mon premier vol à bord de l'avion de bois et de toile préféré des jeunes pilotes !
C'est donc maintenant l'occasion pour moi de rédiger un petit comparatif entre le célèbre Cessna 152, sur lequel j'ai pu faire toute ma formation (ainsi que de nombreux pilotes à travers le monde), et le DR400 élu "best flyer" ;-) par les pilotes de l'héxagone.
Style : victoire DR400 par K.O.
Je crois qu'il n'y a pas photo : les Cessna sont trapus et ne semblent pas très aérodynamiques pour un sou. Les Robins, par contre, sont très élancés avec leurs ailes basses recourbées sur leur bord (la fameuse aile Jodel). De plus, leurs carénages de roues sont du plus bel effet.
Accès à bord : victoire Cessna 152/172 par K.O.
Là aussi, il n'y a pas photo : dans les Cessna, on ouvre les portières et on rentre comme dans une voiture. Il suffit d'avancer les sièges avants pour dégager un large espace afin d'accéder aux places arrières (comme un coupé). Pour le DR400, c'est nettement plus compliqué : il fut monter sur les ailes, sur une bande large d'à peine 20cm, ouvrir la verrière, avancer le siège et le rabattre, redescendre pour laisser monter les passagers. Ces derniers sont alors obligés de se contorsionner et de se plier en 2 pour accéder aux places arrières. Pour les bagages, il faut les faire passer aux passagers pour que ces derniers les déposent dans le coffre derrière eux. Le C172 a un coffre accessible depuis l'extérieur. Enfin, le pilote et co-pilote doivent enjamber le manche pour pouvoir s'installer, alors que dans les Cessna, la présence d'un volant autorise un espace dégagé pour les jambes.
Conclusion : si vous êtes jeune et sportif, vous pouvez prendre un DR400 ; s'il faut emmener pépé et mémé, je vous conseille vivement le C172 !
Visibilité à bord : match nul
Lorsqu'on pilote en VFR, il faut ouvrir les yeux, c'est très important ! Les Cessna sont des avions à ailes hautes : le principal avantage est que l'on peut parfaitement voir ce qui se passe en dessous (et ainsi prendre de magnifiques photos). Par contre, la visibilité en virage est nulle car l'aile à l'intérieur du virage masque complètement la vision du pilote. En ce qui concerne le DR400 (ailes basses), c'est l'inverse : visi excellente en virage, mais pour prendre des photos en dessous, c'est là que ça se complique ... débrouillez-vous comme vous pouvez ! Enfin, parlons de la visi vers l'arrière, nécessaire pour conserver l'axe de la piste lors de la montée après décollage : dans les Cessna, il y a une lunette à l'arrière par laquelle on peut voir la piste, sur DR400 nous n'avons pas droit à ce luxe ! Dommage, la vision vers l'arrière c'est aussi un gage de sécurité ! "Dites, Monsieur Robin, vous pouvez pas mettre des rétroviseurs à vos avions SVP ?"
Ergonomie : match nul
Le pilotage d'un Cessna se fait au volant, celui d'un DR400 se fait au manche : aucun avantage à première vue de l'un par rapport à l'autre. Le tableau de bord se ressemble dans les deux avions, avec les mêmes instruments aux mêmes endroits (normal, c'est fait pour). Le DR400 possède deux commandes de gaz, alors que le Cessna n'en possède qu'une seule mais judicieusement placée (la réchauffe est à portée de pouce de celle-ci). Les volets sont électriques sur Cessna, manuels sur DR400. Par contre, la largeur aux coudes est plus grande sur DR400 que sur C152 : moins pratique pour draguer ;-)))) !
Pilotage : avantage DR400
Je n'ai pas encore suffisamment d'expérience en vol pour en parler. Cependant, la différence entre les 2 avions ne semble pas flagrante, par contre à l'atterrissage, elle l'est : le contact de l'avion avec le sol est beaucoup plus doux en Robin qu'en Cessna.
Bon, dans un futur + ou - proche, il me restera à me faire lâcher sur le Piper PA28 et le nouvel arrivant, le Tecnam P2002 du club (le C172, je connais déjà).
Aurélien ( alias Yoyoman )
Un arrosage réussi.
Voici ma nav : en noir la nav initialement prévue, en rouge mon trajet en déroutement.
Vous la voyez, vous, la piste de Morestel ?
Le tour de piste un peu spécial d'Annemasse
En vent-arrière 12, attention à ne pas passer la frontière !
En finale 12 à Annemasse.
Chambéry et sa pente d'approche à 7%. Quel plaisir d'atterrir face au lac !
Le terrain de Belley au bord du Rhône
La piste en herbe de Belley : very very short (500m) !
Lorsque je prépare un vol, mon appartement ressemble très vite à celà !