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  • : Imagin-air
  • : Le blog d'un passionné d'aviation : récits de sa formation et de ses vols.
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Jeunes Ailes

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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 21:46

Dans la série des avions qu'on n'approche pas souvent dans sa vie, voici le Pitts S2B de Jean-Louis Page.



Jean-Louis qui arrive à Ambérieu.


Comme le disait Bernard Chabbert au meeting de la Ferté Alais, le "Pitts" est le "Stradivarius" des avions de voltige. Un vrai plaisir à piloter.... L'histoire de cet avion mythique est racontée sur cette page.



J'ai pu photographier ce magnifique sublissime Pitts à Ambérieu LFXA, lors d'un Café-Croissants que Julien et moi avons rejoint pendant les vacances de Pâques. Là aussi je crois que, rien qu'à voir cet avion pour de vrai de mes petits yeux ébahis, je crois n'avoir pas regretté le déplacement ...



Appréciez l'intérieur... Remarquez la vitre sous les pieds.


2 versions existent : avec ou sans verrière.


Il a de la gueule cet avion, y'a pas à dire....


Aurélien

P.S. : Julien : j'attends que tu fasses jouer tes relations pour que je puisse faire un petit tour dans la bête .

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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 00:03

Ces vacances de février, j'ai profité de quelques jours de skis pour aller traîner (exceptionnellement) mes spatules du côté du domaine de Courchevel. Appareil photo en poche, je n'ai pas hésité à aller photographier l'altiport sous tous les angles pour vous montrer à quel point il peut faire peur aux pilotaillons (pente à 19% !). D'ailleurs, on reporte un certain nombre d'accidents (matériels) sur cette piste unique par sa difficulté.



Carte d'approche de Courchevel LFLJ.


Vue des installations depuis l'Ouest (côté Loze)


Vue d'ensemble du dessus et un cessna 172 à l'atterrissage (agrandir l'image).


DR400 également en tour de piste.


Et hop, dans les airs.


De nouveau le Cessna.


Hughes 500D (merci Christophe !). 


On a rarement l'occasion de photographier un DR400 sous cet angle.


Piper PA-46/Jetprop DLX, un avion qui vaut près de 1 100 000 $ !


La piste vue depuis le versant Est (Roc Mugnier).


Cet altiport est fréquenté par de nombreuses choses ailées ;-).


Aurélien

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 21:49

Cela aurait pu être une discussion sans lendemain, mais c'était autour d'un bon repas champêtre, à St-Cyr (j'y reviendrai), que la fameuse Susana, éminente personnalité sévissant sur Pilotlist, a relancé l'idée, plus que motivée :

- Susana : Alors Nicolas, t'es toujours partant pour faire de la montgolfière ?
- Nicolas : Ah oui, plus que tout… Et je suis plutôt disponible en ce moment !

Nicolas, c'est un autre colibri qui, je crois, était à l'origine sur Pilotlist de cette fabuleuse idée quelques mois plus tôt.

- Moi : Ah oui, moi aussi ! Ce serait génial !
- Susana : on pourrait organiser un rascol (RASsemblement de COLibris). Je m'occupe de tout !

Et voilà, c'est parti comme çà. Quelques jours plus tard, Susana envoyait un message sur la Pilotlist pour organiser une sortie montgolfière.

8 futurs aérostiers ont répondu présent. La sortie est fixée ce vendredi 3 octobre, mais la météo en a décidé autrement : un ciel instable nous a obligé à remettre au lendemain matin cette sortie que tout le monde attendait fébrilement depuis des semaines. Rendez-vous donc samedi, 8h du matin, à Maintenon, petit village charmant de l'Eure, à environ 1h15 de voiture de Paris. Certes, l'heure est matinale pour un samedi, mais quand la motivation est le carburant de 8 passionnés de choses de l'air, rien ne les arrête !

Samedi 5h45, le réveil sonne. Malgré l'heure matinale, je suis tout émoustillé de la journée qui m'attend. Le temps de me préparer, je pars de Paris vers 6h15. Pour un non autochtone, le chemin va me réserver quelques surprises, surtout au niveau de Rambouillet, que je vais…. disons…. bien visiter avant de trouver la bonne direction pour Maintenon (je n'aime pas naviguer au GPS en voiture, peut-être est-ce un tort ?). Je suis le premier à arriver sur le lieu de rendez-vous vers 7h45.

Sur le parking, je vais retrouver peu de temps après Arnaud, Susana et Anne-Céline. Déjà, les 4x4 de Air-Magic arrivent pour charger les participants et les emmener au lieu de décollage situé à quelques lieues de là. Susana, elle, attend les derniers colibris (Bastien et Nicolas, accompagnés de leur compagne) pas encore arrivés.



En route pour la piste le champ de décollage.


Dans le champ de décollage, les deux montgolfières sont déjà toutes dépliées. Autour gravitent les participants de ce vol, en train shooter l'engin, et ce n'est pas la froidure automnale qui va les arrêter. Rapidement, le pilote nous explique ce qu'il attend de nous : l'aider d'abord à gonfler la montgolfière. Pour cela, il faudra trouver quelques bonnes âmes charitables pour maintenir ouvert le col de la montgolfière de sorte que les ventilateurs puissent insuffler de l'air (froid !) dans l'aéronef. Ensuite, il nous explique à quel moment il faudra monter dans la nacelle, et comment...



Lever de soleil : il est encore bien tôt en ce samedi matin.


C'est le moment de commencer à chauffer l'air, aux brûleurs cette fois. L'enveloppe du ballon est encore au sol, alors il faut incliner la flamme pour réaliser cette tâche (la nacelle est couchée sur le flanc). Petit à petit, la montgolfière commence à se lever, puis suffisamment pour rabattre la nacelle et enfin monter dans le panier. Ce dernier est sanglé au 4x4, des fois que la montgolfière s'envole en oubliant la moitié des passagers au sol …..



Gonflage de la bête.


Premiers coups de chauffe.


Dès que tout le monde est à bord, et que le ballon ne demande plus qu'à s'envoler, l'équipier resté au sol libère le harnais. Le départ est brutal, mais ça y'est, nous sommes plus légers que l'air !

Le ballon s'envole assez rapidement, c'est assez surprenant. Très vite, nous dépassons la cime des arbres alentours. Nous montons en un rien de temps jusqu'à la limite de la classe A de Paris (que mon mouchard de GPS aéro témoignera avoir dépassée). Pendant l'ascension, le pilote explique comment il se sert des vents pour piloter son engin : tout est affaire d'altitude… et d'expérience ! Il nous montre aussi comment faire pivoter le ballon pour nous faire profiter de vues à 360°. Puis il s'affuble de la casquette de guide touristique pour nous donner le nom des villages alentours. Il nous indique même où chercher la Défense, Montparnasse et la Tour Eiffel. Malheureusement, je dois bien dire que mon œil peu averti n'a pu distinguer aucun de ces monuments !



Décollage et premiers paysages qui s'offrent à nos yeux. Tout au loin : Paris.


Nous sommes 2 aéronefs à divaguer selon les caprices du vent.


Ces lignes ne sont pas un effet d'optique, mais bien Ze Nature Touch !


Illumination divine.


Cela n'a pas l'air, mais l'enveloppe fait quand même 12 000 m3.


Rayon de soleil.


A bord, tous les appareils photos crépitent. Il y a vraiment beaucoup de choses à immortaliser : le spectacle du soleil levant, les paysages de campagne alentours, les lièvres qui courent dans les champs… Pour nous en mettre plein la vue, l'aérostier va nous montrer à quel point il fait corps avec sa machine : il nous effectue un vol rase motte, à environ 10 cm du sol, en laissant airer son ballon dans l'Ether, pour le plus grand plaisir des passagers. 10 minutes de bonheur.



Nous volons à ras le sol : ce passage bas n'a pas l'air d'effrayer les automobilistes qui doivent quend même ne pas en croire leurs yeux.


Déjà 1h que nous sommes plus légers que l'air. Il va bien falloir songer à revenir sur terre. Le pilote reprend un peu d'altitude, histoire de repérer un champ vachable. L'astuce pour l'atterrissage consiste à trouver un terrain non cultivé (en jachère par exemple) pour ne pas attirer la véhémence du futur agriculteur victime de notre atterro sauvage : un terrain en herbe serait l'idéal pour qu'au moment du contact avec le sol, la nacelle puisse "glisser" au lieu de se renverser. Car il est fort probable que la nacelle bascule à l'atterrissage : 1 chance sur 2, dixit le pilote. Pour nous, la nacelle restera bien droite grâce à la grande dextérité de notre super aérostier.



Pour dégonfler l'enveloppe, l'aérostier va ouvrir le sommet de la montgolfière.


Exercice de style. Nous voilà posés.


Un vol en montgolfière n'est pas anodin. Il faut saisir ce moment exceptionnel.


Une fois les passagers débarqués, l'enveloppe est encore suspendue en l'air, mais va bientôt s'étaler de tout son flanc sur le sol. L'aérostier actionne alors une trappe destinée à découvrir le sommet du ballon, ceci afin de le dégonfler très vite. Maintenant que la voile est à terre, l'aérostier nous demande de l'aider pour la replier, alors que ses équipiers arrivent déjà en 4x4 et leurs remorques pour transporter l'aéronef.



Tous les participants donnent un coup de main pour replier l'engin : c'est un moyen de prolonger le vol ...


L'autre montgolfière se pose à quelques centaines de mètres de là.


La trace du vol.


L'équipe du jour.


Avant de nous quitter, le champagne est offert aux participants, pendant que nous recevons notre "certificat d'ascension en machine aérostatique". Après nous avoir ramené à bord d'un 4x4 nettement moins confortable que notre ballon moelleux à souhait, nous n'avions qu'une seule envie avant de sous séprarer : nous remplir l'estomac après autant d'émotions. Nous avons donc terminé notre journée autour de quelques croissants servis accompagnés de boissons chaudes à Maintenon.



Pour terminer ce vol, le champagne est de rigueur.


A cette belle journée !


Nous obtenons notre baptême. Ce n'est peut-être pas grand chose, mais cette simple feuille de papier participera au souvenir.


Susana aussi intéressée par la montgolfière que par... les canards dans la rivière ;-)


Affamés, nous allons petit-déjeuner copieusement dans le village de Maintenon.


Merci Susana ! Que serions-nous sans toi ?

Aurélien

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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 22:44

Je l'attendais depuis longtemps ce vol ! Il a déjà été reporté une fois à cause de la météo. Je parle bien sûr du vol de mise en garde que la FFA offre à tout jeune breveté. Le cap 10 F-GRRA est donc arrivé de Grenoble St Geoirs ce samedi, avec à son bord Paul Bomel, le représentant de la fédération dans la région Sud-Est. C'est lui qui va assurer 12 (!) vols de haute voltige dans la journée, au dessus de Bron. 
 

Le Cap 10 : séance de "sanglage" obligatoire !

 
J'ai été le deuxième de la journée à monter à bord de ce Cap10c, un avion de l'armée rétrofité avec des ailes carbone. J'ai eu un peu d'appréhension au moment de monter, car le précédent élève était revenu de son vol disons... un peu palot.




Paul Bomel, et le tableau de bord du Cap10

 

Dans un avion de voltige, on prend quelques précautions : premièrement, on se débarrasse de tout objet dans les poches (clés, veste, portables). Deuxièmement, on enfile un parachute de secours, que l'on harnache très très fort, qui sert en cas de problème en vol (gloups). Tertio, on rentre dans l'avion sans s'appuyer nul part sur la verrière, car celle-ci est très fragile car éjectable. Enfin, on s'assoie dans l'avion et on s'attache une nouvelle fois très très fort au siège).
  

 

Le joli oiseau

 

Paul ne perd pas de temps pour démarrer l'avion, équipé d'un moteur injection de 180 ch. Avec Paul, il faut le laisser tout faire :

- Moi: "Je vous laisse les commandes au roulage ?"

- Paul B.:" y'a intérêt, je voudrais pas que tu me foutes l'avion en pylône, le Cap est un avion très fourbe"

- Moi: " Bon, Ok "

En fait, il m'a quand même laissé m'initier au roulage de cet avion à train classique, manche au ventre, que l'on guide avec les palonniers.

- Paul : "10h10, pas plus !"

Au début, je ne comprenais pas, mais j'ai compris plus tard qu'il me parlait de l'amplitude des palonniers pour guider l'avion. Nous nous alignons en 34, Paul met les gaz et ... on sent de suite la cavalerie qui déboule. Mon FI d'un jour met l'avion en ligne de vol, et nous décollons. A présent je prends les commandes, pour monter à 5000ft verticale LFLY. Je m'applique pour garder les 160km/h demandés par mon FI.

Puis les choses marantes commencent : tout d'abord, Paul réalise la manœuvre de l'ascenseur pour vérifier si je suis bien harnaché. Cela consiste simplement à une trajectoire verticale ascendante, puis descendante : c'est bon, je suis calé dans ce qui me sert de siège.

Ensuite, petites manoeuvres tranquilles : décrochage, virages à 60° à droite et à gauche (j'ai même eu les félicitations du jury !). S'en suivent des mises en vrille à droite, puis à gauche. En fait, Paul semblait vouloir me surprendre par cette manoeuvre, mais ce ne fut pas le cas car j'en avais fait quelques unes pendant ma formation sur C152 (certifié pour vriller !).

Après, les choses vraiment très sérieuses ont commencé. C'est Paul qui a repris les commandes pour me montrer tout un tas de manœuvres de voltige : tonneau, vol dos, boucle et renversement. Ce sont des manoeuvres de base en voltige, mais c'était déjà bien assez impressionnant pour moi. Entre chaque figure, Paul me demandait : "ça va ?" et moi "oui oui, ça va".

J'ai repris les commandes pour intégrer le tour de piste, et Paul a repris la main en courte finale. A l'arrêt de l'avion, l'accéléromètre électronique indiquait -1.2 +3.7g. Bon, l'avion est certifié pour prendre des châtaignes bien plus violentes. Mais bon, comme toujours dans une nouvelle expérience aéronautique, ce fut 27 minutes de pur bonheur.

Aurélien

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23 juillet 2006 7 23 /07 /juillet /2006 11:36

xx Juin 2006 : un date mémorable dont je ne me souviendrai longtemps. C'est la date de mon premier vol dans "le plus beau bureau du monde".

Mais tout d'abord, revenons un peu en arrière. Eté 2005 plus précisément. C'est à cette époque que je m'inscris pour la première fois sur la Pilotlist. Je découvre que, comme moi, plusieurs passionnés d'aéro, pilotes ou non, discutent de prêt ou de loin de tout ce qui touche le monde aéronautique.

Les sujets sur cette liste sont très variés et, avec émerveillement, je découvre qu'il est tout à fait possible, bien qu'interdit par Air France, de s'inviter ou de se faire inviter dans le cockpit d'un avion de ligne par les pilotes. Lorsqu'on connaît un pilote qui connaît un pilote qui connaît LE pilote au commande le jour du vol, on se fait "cockpistonner" c'est à dire que l'on fait jouer ses relations pour que le pilote nous invite dans son cockpit, alias "le plus beau bureau du monde" (terme employé pour la première fois par Jacques Darolles, commandant de bord sur A320, dans son premier livre).

Me voilà donc le jour de mon départ, mon premier vol "de ligne" depuis que je suis inscrit sur "LA Liste". Afin d'accéder à la cabine de pilotage, je m'y prends un peu différemment : j'ai utilisé l' "autocockpiston", c'est à dire que je me suis invité tout seul dans la plus beau bureau du monde. L'astuce a été simple mais, comme toute recette de grand-mère, je ne vous la divulguerai pas ;-) ! Sachez simplement que ce genre d'auto invitation, tout comme le vrai "cockpiston" ne marche pas tout le temps, attentats du 11 Septembre 2001 oblige. Car c'est le Commandant de Bord qui prend la décision d'inviter ou non un "étranger", et qui est également responsable des conséquences...

Voici donc comment cela s'est passé : peu après le décollage de notre A320 de Roissy Charle de Gaulle en direction de Stockholm, assis encore à ma place "réglementaire"  et me disant intérieurement que mon autocockpiston avait certainement échoué, je suis très surpris lorsque la chef de cabine vient me voir à ma place avec un grand sourir pour me dire :

-"Vous savez y faire avec les pilotes ! Ils vous attendent dans la cabine de pilotage".
 

Croyant que mon cockpiston avait échoué, je me consolai en admirant la beauté du ciel par le hublot.

 
A ce moment là, je me suis rendu compte à quel point j'étais chanceux. Très peu de gens ont un tel privilège. Une immense joie me remplit immédiatement et, sans me faire prier plus longtemps, je commence à me diriger vers la cabine de pilotage accompagné par la Chef de Cabine. Mon voisin de siège a certainement du se demander ce qu'il se passait, car ensuite il ne m'a plus revu de tout le vol ! Me voilà donc entré dans le lieu saint des saints : je salue de suite les pilotes et, politesse oblige, je me présente et les remercie de leur invitation. Je m'assieds ensuite sur le très populaire (sur la Pilotlist) "jumpseat" à l'arrière des pilotes, que j'essaye déverrouiller tant bien que mal : sachez que dans la cabine de pilotage d'un A320, il peut y voyager 4 personnes (le pilote et copilote ainsi que deux autres personnes assises sur des strapontins rudimentaires généralement vides et donc repliés). Puis, un fois le pilote automatique enclenché, les pilotes ont un peu de temps à me consacrer. Ils commencent par me montrer leur tableau de bord, les écrans LCD, leur rôle, leurs instruments, les différentes fonctions de la multitude de boutons.
 

Ecrans de jeux dans le plus beau bureau du monde.

 
Puis nous discutons d'avions en tout genres : des vieux que nous avons pu voir dans des meetings aériens, des plus récents sur lesquels on apprend à piloter. Le vol devait durer deux heures, mais ce n'est pas l'impression que j'ai eue tellement je n'ai pas vu le temps passer.

Pendant leur briefing arrivée où la concentration des pilotes devait être de rigueur, j'en profite pour prendre quelques photos. Puis les pilotes m'autorisent aimablement à rester pour l'atterrissage. J'accepte sans aucune hésitation. Nous voilà donc en finale 26 pour Arlanda, l'un des aéroports de Stockholm. L'atterrissage est réalisé de main de maître et l'A320 roule déjà sur le taxiway.
 

Vol au dessus d'un nid de nuages


Arrivée sur la Suède


Piste 26 en service

 
La vidéo de l'atterrissage est disponible ici (clic droit + "Enregistrer la cible sous" pour télécharger).

 

Je tiens à remercier le commandant de bord ainsi que son copilote pour m'avoir autorisé à passer un grande partie du vol à leur côté, ainsi que tous les hôtesses et chef de cabine pour avoir généreusement transmis mes requêtes aux pilotes, ainsi que d'avoir veillé à ma bonne restauration même dans la cabine de pilotage ! Merci à tous de permettre à des grands enfants (comme moi) de rêver et de passer des moments extraordinaires comme celui-ci.



Aurélien
 

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